29 janvier 2009
JOURNAL D'UNE AIGRIE
C’est ainsi que l’on pourrait nommer l’œuvre impérissable, destinée à disparaître dans les oubliettes éditoriales dès la semaine prochaine, l’œuvre remplie d’enculatude et de phrasitude pseudo assassine, déféquée dans le petit matin blême par bécassine...